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Quand mon ancien moi se rappelle à mon nouveau moi



Masques barrières Octobre Rose - Angers

100% coton, rose ou blanc, marquage en film polyuréthane certifié label Oeko-Tex


Prix de vente 7,5€ dont 1€ reversé au Comité Féminin 49


N’hésitez pas à commander le votre en m'envoyant un message à

osaintepatronne@gmail.com




A la fin de mes études, j’ai choisi de rejoindre l’industrie pharmaceutique en pleine conscience ; par choix et non pas par opportunité.


Car je ne suis pas tombée dans l’industrie pharmaceutique par hasard, je l’ai fait parce je voulais, à défaut de sauver le monde et ses habitants, tout du moins contribuer à ce que des personnes meurent moins, moins tôt et dans moins de souffrances.


Et c’est ce que j’ai fait pendant 2 décennies.


J’ai notamment eu la chance de participer au lancement de deux molécules qui ont révolutionnées le traitement de certains cancers du poumon. A ma (petite) échelle, j’ai permis à des milliers de personnes de vivre avec leurs proches des mois ou des années qui autrement leur auraient été volées.


Des années plus tard, je quittais, l’industrie pharmaceutique toujours en pleine conscience, pour prendre une direction professionnelle complétement différente.

Non seulement je me lançais dans l’entreprenariat, moi qui me suis toujours considérée comme la personne la plus risk adverse que je connaisse, mais je me dirigeais vers l’artisanat, moi qui ai toujours été extrêmement scolaire et amoureuse des chiffres.

Et si ces deux domaines n’étaient pas si éloignés l’un de l’autre que ça ?

Et si au travers de la couture, j’essayais aussi de permettre aux personnes d’aller mieux. Peut-être pas physiquement, mais psychologiquement. De leur permettre de s’épanouir et de se réaliser en créant de leurs mains et retrouvant un sens quand nos métiers bien souvent en perdent.

Alors, après avoir mis pendant 20 ans mes cellules grises au service de la lutte contre le cancer, aujourd’hui ce sont mes mains et ma créativité que je mets à son service.


Et si ces quelques masques permettent aux personnes qui les portent ou celles qui les voient de se rappeler que le cancer du sein peut toucher tout le monde et qu’il faut impérativement aller se faire dépister régulièrement.

Si ces quelques masques, au travers de l’argent qui sera reversé au comité féminin 49 peuvent servir à faire avancer la recherche contre le cancer.

Alors, j’aurais continué, à ma (petite) échelle, à avoir un impact sur la santé des gens.

Même si on a l’impression de changer de vie, au fond, on ne change pas
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